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21 mai 2008

Recherche urgente

Voilà, vous allez trouvez ma demande un peu singulière mais j'ai 39 ans passés et l'envie me vient d'avoir un enfant, savoir pourquoi je me lève le matin, un enfant à qui je pourrais apprendre un tas de choses, l'emmener partout, lui faire découvrir le monde, les gens, la diversité, l'humanité. Alors, si vous aussi vous êtes en mal de paternité, 2 destins pourraient se rencontrer ... Je suis ouverte à toute proposition (d'hétéro, homo ou bi) et ... au fait, je me refuse à négocier financièrement votre participation. Elle sera généreuse ou ne sera pas. Et dernier point, crados s'abstenir. Petit détail, je vis dans la PACA alors ce serait plus sympa si vous étiez de la région. Merci de m'avoir lu, d'y avoir pensé ou de répondre.

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18 mai 2008

Sunday, May 18th Me revoilou après une absence un

Sunday, May 18th

Me revoilou après une absence un peu prolongée dont je vous parlerez, j'ai fait quelques bêtises mais ceci est une autre histoire ...

Retour dans mon passé, vous comprendrez mieux mon présent et peut-être, par manque d'humilité, j'espère que cela éclairera le présent de certains ...

J'en étais à ces reflexes conditionnés ...

Donc dans ces conditions comment grandir sans complexe, sans retenue et sans entrave? De la petite collégienne ingénue et rondouillette je suis passée, tout naturellement oserais-je dire, à l'adulte obèse.

Donc dans ces conditions comment avancer sans complexe, sans retenue et sans entrave?

Enfant, je n'ai jamais éprouvé le besoin d'inviter des copains ou des copines, pourtant j'en avais mais leur existence devenait virtuelle sitôt que je rentrais chez moi. Jamais personne à la maison pour mon anniversaire et autres soirées entre ami(e)s, jamais de soirée-pygamas, jamais de week-end entre ami(e)s, jamais de booms (et oui on disait ça dans ma jeunesse!). Mais ça ne me manquait pas. Je dirais même qu'à 30 ans seulement, je me suis rendue compte que je n'avais pas vécu toutes ces choses. J'ai surement grandi hors des normes, en marge mais j'avais des parents et seuls ces 2 êtres me comblaient. Enfin plus exactement ma maman, cet être suprême et parfait. Une maman attentive, affectueuse et tout dévouée, un être à qui je vouais une admiration sans faille et à qui je dédiais tout mon temps libre, RTT, week-end et congès. Il me tardait de voir mes jours de repos sur mon planning pour savoir quels jours seraient joyeux et riches. Seule ma maman me comblait d'affection et de chaleur, elle n'étais jamais avare de calins. Je me gorgeais d'amour et de tendresse. Elle me donnait sans compter et je prenais sans compter. J'avais toujors besoin de la sentir près de moi, assise à ses côtés, il me fallait la toucher, il me semblait qu'un fluide invisible et nourrissier emplissait mes veines d'une sève bienfaitrice, vitale et revitalisante. Elle était juste ma raison d'être. Tout cela est au passé. Maman n'est plus!

Elle nous a été enlevé il y a un presque 7 mois et elle me manque terriblement. Ca c'est bien du présent par contre. Rien ne sera plus jamais comme avant.

Et quand un coup dur se produit, on a tendance à faire le bilan de sa vie. et là je me suis prise un coup de blues carabiné. Alors c'est quoi ma vie finalement: je n'ai rien construit, rien fait de ma vie. C'est navrant!!

25 avril 2008

petites reflexions du jour, bonjour

A LA TELE CE SOIR :

Entendu dans un épisode d'une série américaine:

Un couple est sur le grill, en plein interrogatoire face à un flic retors; ce sont des fétichistes, adeptes de pratiques SM, l'inspecteur les menace de les faire inculper de meurtre, qu'ils allaient se retrouver en prison, menottés pour de bon, la femme lui répond "ce sont des menaces ou une invitation" et là leur avocat dit au flic que ses clients seront dehors dans moins de 24h (déjà on voit bien la profondeur et l'originalité des dialogues), le flic lui assène la réponse qui tue ... le spectateur ... "je les ferai inculper"

Mais moi j'attendais le petit virage dans cet épisode un peu plan-plan, j'aurais bien vu une réplique du style "même dehors je m'accrocherai à eux comme un morpion à un pubis mal lavé", là ça aurait été un peu marrant ... décidément les scénaristes n'ont aucune inspiration.

Entendu dans une pub

Le produit qui combat les traces de boutons d'acné éclatés. Amis de la gastronomie ... Bonjour ...

Puis le produit qui combat les ongles jaunis et abîmés

et bien moi je dis bravo, et tout ça aux heures des repas, là on sent qu'il y a une sérieuse envie de nuire ...

23 avril 2008

je m'présente

PRESENTATION

Tuesday, April 23rd

Bonjour, je m'appelle ... non après tout pourquoi divulguer mon identité. Il n'y a pas de quoi être fière de ce que je m'apprête à écrire car je pressens bien que ce sera fumant ... oui pas de quoi être fière de mon passé ni même de mon présent.
Je n'irai pas voir un psy, je me guérirai par l'écriture ... enfin je vais essayer.

J'étais une petite collégienne naïve qui craignais les groupes, les clans et les garçons et encore plus quand dans ces groupes aux allures de clans il y avait des garçons. J’aurais aimé ne jamais grandir, jouer à la marelle, au pitchak (amis du pitchak je vous invite à vous manifester) et à l’élastique jusqu’en fac et encore …

J’ai 39 ans et j’y jouerais bien volontiers après bien sûr avoir passé 1h ou 2 sur les balançoires et les tourniquets. Petite, je montais sur ces tourniquets que ma mère considérait comme des engins de mort pour moi ; en effet, ma distraction principale lorsque j’étais dessus consistait à les faire tourner à une vitesse enivrante et essayer ensuite d’en descendre sans encombre. Ma mère devenait folle de rage, mais moi je ne rêvais que de ça. Sur les manèges c’était pareil, je voulais pour le prix d’un ticket essayer plusieurs véhicules, j’avais toutefois une prédilection pour l’hélicoptère qui, quand on laissait le doigt appuyé sur le bouton magique restait collé en l’air mais redescendait immanquablement à la fin du tour.

Bref, revenons à nos début en société. En 6ème, pour ma 1ère interro orale (comme on appelait ça) pour une récitation, j’ai apporté mon classeur au professeur avec ma petite frise et un dessin autour de mon texte proprement rédigé. Je subissais mon 1er affront (aurais-je mis mon pull à l’envers ce jour-là ?), le prof voulait juste m’entendre déclamer et entendre ma récitation, le protocole de la page d’écriture, de la frise et de l’illustration il s’en fichait « on n’est plus en maternelle » m’a-t-il asséné ! 1ère moquerie de mes camarades de classe qui, pour la majorité, ne deviendront jamais plus et ne resteront même pas dans mes souvenirs sélectifs. Je les détestaient déjà, ces rigolards !

Voilà, entre autre, pourquoi je n’aimais pas les groupes, pour ne pas à avoir à affronter les moqueries « de l’après » et les commentaires des langues bien pendantes des 6ème avec 1 an ou 2 de retard qui avaient pris en maturité et en assurance par rapport à moi qui, avec un an d’avance, n’avais que 10 ans.

J’aurais voulu avoir cette verve que certains avaient déjà et que j’admirais en secret en les critiquant ouvertement pour avoir l’air de la gentille petite fille et élève modèle.

Cette ambivalence, je l’entretiens encore aujourd’hui mais comment faire pour se débarrasser de 28 ans de réflexes devenus conditionnés avec le temps ...

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